
jeudi 23 octobre 2008
C'est à l'aube (2)

dimanche 19 octobre 2008
essai
C'est à l'aube (1)

mercredi 15 octobre 2008
L'automne des poètes (débutants!)
Aujourd'hui je suis allée, pour la première fois de ma vie, à un atelier d'écriture poétique. Et je n'y connais pas grand chose en poésie! Je n'ai jamais été capable de produire un poème digne de ce nom ( et je ne parle pas de ma prose souvent laborieuse parce que là ce serait s'auto-flageller!)
Les quatrains, alexandrains et autres sonnets -et il en est de magnifiques:
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, je partirai.
Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
m'ont toujours laissée admirative...
Mais dès qu'il s'agissait de faire jaillir quelque chose de ma plume: le néant! "Incapable!" me disais-je, frustrée, insatisfaite de moi-même.
Et puis aujourd'hui on a joué, et j'ai OSé; çà a donné çà.
A partir d'un réservoir de mots choisis:
Je vois la fièvre dans ton regard
Dont tous les mots se font l'écho
Ton visage étranger, ta voix obscure
Il est tard
Et je vais faire un brasier
De mes pensées impossibles
A partir des petites annonces:
A vendre: poumons en bonne santé, reins très sains, accompagnés d'un coeur d'artichaut ayant peu servi. Une affaire.
A partir du jeu de l'accordéon:
Il part en poussière
C'est la mairie qui l'a voulu
Il a connu 10 000 vies
Des bruits, des chants, des cris, des rires
L'immeuble s'envole avec une vérité fragile
A partir de mots piochés au hasard:
L'ange a perdu ses ailes
Au bord d'un bougeoir brûlées
Il se cache sous la grandeur
De la tour Eiffel embrumée
Evidemment, l'oralisation des productions faisait partie de l'exercice. Mais moi, j'ai toujours dit que LE RIDICULE NE TUE PAS...
*
mercredi 8 octobre 2008
Dans un vieux carnet

mercredi 1 octobre 2008
çà s'appelle la solitude
